
Au bout de quelques secondes qui mont parues êtres une éternité, je me relève, et me dirige vers les douches que jai repéré lors de notre visite guidée.
Il était le maître de leur destin.
Doù découlerait cette grande complicité, complémentarité, rendant inutile tout commentaire pendant lacte, chacun se concentrant sur la partition quil avait à jouer.Je commençais alors un ballet de stimulations en faisant glisser mes doigts fléchis en crochets, en dessinant des cercles imaginaires autour de ce point magique, accentuant les pressions en alternance.Lorsque son sexe fut gonflé au maximum et luisant de salive, il prit place belle rousse coquine au milieu du lit, et se coucha sur le dos, avec sa splendide érection qui pointait au plafond.Lentrée dhommes seuls se ferra en fonction du nombres de couples présents.Jinsinuais alors deux doigts dans son fourreau bien lubrifié, et découvris que le niveau dexcitation de Virginie avait tendu et gonflé son vagin à lextrême.La douleur de la sodomie commence peut à peux à sestomper pour laisser place au plaisir, je ne métait jamais fait sodomiser, et je le regrette car cest divin.Cest peut-être pourquoi le bourreau derrière elle ne crut pas nécessaire de lubrifier son sceptre.Malgré cela, ni lun ni lautre nétait vraiment rassuré, et pourtant, une force irrésistible nous conduisait vers notre nouveau destin, mais il faut le préciser, avec une certaine excitation.De mon côté, javais aussi été bien excité par ce spectacle dune grande indécence que le trio nous avait offert.Le trio semblait connaitre la partition par cœur, et chacun maîtrisait son rôle à la perfection.Jouvre la bouche pour accueillir son sexe, son gland remplie ma bouche, je ne pense pas pouvoir absorber tout cela dans ma bouche.Nous étions (presque) convaincus que lacte de chair pouvait tout à fait être décorrélé des sentiments que nous éprouvions lun pour lautre.Si les hommes demeuraient silencieux dans leur besogne, la femme par contre commençait à montrer des signes évidents de la montée de son plaisir.Lorsque lun entrait, lautre ressortait.Et nous ne fûmes pas déçus.Moi qui en temps normal naime pas cela, je me laisse aller et y trouve même du plaisir.Elle avait pris soin auparavant déviter tout contact de mon membre avec les contours de sa bouche, et je ressentais la chaleur de son souffle sur mon sexe bien avant que sa bouche ne se referme sur lui.Le dessert consommé, nous redescendîmes au bar, où le temps du repas, de nouveaux couples sétaient installés sur des tabourets hauts.Cependant, celle-ci surplombait plusieurs coins câlins qui commençaient à sanimer.Ou si chaque libertin confirmé avait atteint un degré de connaissance technique et de maitrise lui permettant dêtre immédiatement en phase avec dautres partenaires occasionnels.Je cherche ce quelque chose à chaque fois que je suis seule, je me parle à moi-même, jessaye de trouver ce quelque chose qui pourrait faire que je sois plus moi-même sexuellement parlant.
Depuis le bar nous observons les couples qui nous entourent, les personnes dansant sur la piste Ils semblent tous très à laise.
De temps en temps, sa main sarrêtait de tourner pour se plaquer immobile et crispée contre son sexe trempé, et son corps se tendait alors quelle fermait les yeux en levant la tête, la nuque tendue comme une corde, essayant de freiner lescalade de son.